Autour de toi

Madrid 1994

 

et

 

PAYSAGES DE RONDE

Madrid 1995
 

 

de

 

José María Torres Morenilla

 

 

Bonjournet

 

INTRODUCCIÓN

 

 

Cher ami:

Merci beaucoup pour ton message plein de poésie, de philosophie, de sagesse, mais surtout, d'amitié. La langue espagnole a la chance de pouvoir distinguer entre "ser y estar". En français nous devons nous contenter d'un seul mot: être. Si le français est la langue de la l'amour et l'espagnol la langue pour prier -Don Ismael ou Don Gervasio dixit-, le français contient une musicalité poétique à laquelle l'espagnol n'arrive que lorsque, en même temps, c'est un génie qui le parle et l'écrit: tu arrives de temps en temps. Bravo!

Bravo!  et merci, specialement pour la leçon d'humilitié et de flexibilité que tu me donnes lorsque tu m'octrois le titre de vainqueur. Mais le poète ne peux pas vaincre autre chose que la mort, de la même façon que le saint ou le mystique. Et, pour faire ceci, il es nécessaire d'abord qu'il arrive a ne pas être ou a être rien, pour devenir Tout, c'est à dire, il faut qu'il arrive à ne pas s'identifier avec son égo ou sa personalité pour se fondre avec la totalité de la Nature et le Cosmos, dont nous sommes une minuscule partie et, au même temps, un holograme qui reflète le Tout. Le reste n'est qu'un ensemble de mots pour passer le temps, discuter ou gonfler l'égo, quoi que la parole est nécessaire pour communiquer et construire la civilisation et l'amitié parmi d'autres choses à maintenir... à suivre... amitiés

alfonso colodrón

 

Autour de toi

 

 

1

Nouveau le sous vert,

avant le petite brise, parfumée,

au garden rameau,

defense d'une lumière ;

ils sont vivant jouissant,

jeunes gens, aux fleurs.



2

Bruits de mer, à tonne, sourire.

proche, de bouche, jusant,

bois de mer,

longtemps désirée,



3

Seine extensive,

visage amoureux, cintre de ville.

amoncelée collines,

long promenade,

fleuve interminable



4

Blanche, elle, chemin,

écouter lui sont dur,

bientôt, de mon mot ;

le vent deposé

aussi la mer

et sa vêtement blanche.



5

Brise qui il pleuve,

le gens cheminée autours d eau,

fond le sable du pluie,

du sourire c´est neige.



6

Un poète tombé,

sans lange,

dans la rivière de mer,

sans mots,

la mer est sa langue.



7

Ne moi donnez pas votres anciennes choses,

je sais un roman nouveau, same ensemble,

d'un verbe occulte et sagace,

qui dans mon âme, changé les roses.



8

La mer qui je rencontrai

dans circuler ciel ;

la mer qui me reporte,

nouveau sa fraîcheur,

sa terre obscurcie

sa bouche acide.



9

Oh verbe replet qui je rencontrais!,

dernièr raison de vivre, raison, d´illusion.



10

Au retour le paysage fébrile

d autre paysage : mon coeur,

au cercle à mon contestée a toi,

je exige vous il unit main replete :

- Autour moi, au retour,

L´amour sera la bas.



11

Lis de jaune, lis violet,

il grève décliner au mort de Sienne,

il l'esclavo oprime son secret,

loin, loin, le mur

blanc est fureur,

sud, la terre aujourd'hui sombre,

le lis du il grève, bleu tendre,

jusqúa lis, denses, jaunes.



12

Bois au vin, le paysage , il apparaît

au travers, de son verre, tombé,

de petits mots obscurcis,

à mouvements infinis,

a votre bouche approchais

et détache l'espace,

et les vivants devient

la dimension égale,

et les dents sont trouvent

avec toi même, l infime,

obscure, de bon vin,

sous je ta bouche,

ta bouche parfumée la nuit,

au petit pays.



13

Train de montaigne,

le soleil à tes mains,

le chuts, chuts accompagne,

au riviere bleu du lac,

au champagne

vert, obliquement,

les droites lignes du lumière,

sont du femme fragance,

vent en de lis,

de frâcheur au printemps,

voyage du fer,

(fenêtre ouvert)

you printemps, mon âme.



14

Alliez, alliez ! ombre accroupie,

l'obscurité à l'air éclairée,

song de silence,

incroyable sable,

le passant du paysage cultivée,

du plus de faux et plus vrai:

L'automne s´abate le sous-sol

d'un air qui j'ai fumé.



15

Proximité du parfum jeune,

parlez moi,

des choses qui élevais au de l'infinie,

parlez moi au toi même,

jeune.



16

Au fin du jour, donc j'ai perdu

l agriculture, mes mains délicates,

ne s´occupent pas des les formes

inharmonieuses à le bon corps ;

la transparence d or,

du vin, et de cristal lumière,

j'ai perdu mon travail aux les vignes,

la recolte d'âge, dans printemps derniers,

la terre même, ou la terre de grève,

et l odeur du nuage fumée.



17

D´eau, densité, le vêtement du couleur,

le phase harmonieuse du peinture,

lumière qui monte o descendre,

le espace,

l'infinite avec la dimension et mortelle,

la tour traduit au ciel,

le ciel assister immutable...



18

Crin la noir, brillant,

tête de beauté,

sa trot, picotant.

À retour envisage,

il rencontre sa force,

le tambour du vallée,

le page obscur,

d animal domable.



19

Danser les lignes, danser

et puis nous dansons,

au rive, nous dansons,

nous dansons la rime

de poésie sensible,

nous dansons in gravides,

nous sommes les dansants,

un, deux, trois,

milliards donne mille,

et les jambes, sans poids,

sans poids, sans musique,

en circle,

au coeur, au coeur!

à toute le couleur,

à plain vide !




20

Rose, obscure, marbre et blanc,

bruit d eau au petit fontaine,

tes mains à mes mains,

hiéroglyphe du lumière,

au bruit brillant d eau,

l'air frais, parfumé.



21

Chaud dans chevaux,

dans centre, c´est toi,

je l'ai fumée un subtil ciel

si il va au ton fin,

tout, presque rien...



22

Vin, sang, fleurs,

vert obscure, rouge verre,

lévres d amoureuses,

branches de végétaux,

à la fâce de mon coeur

joyeux sa mon tête,

sang a mon sang,

déjà vert d´obscure,

mon lèvres amoureuses

sont de coeur des fleurs



23

De fleuve du l'air,

course au lumiére,

pierre obscure sens bleus,

profonds seins d aurore,

les autes files entre nuages,

et l eau, des paysages susurrant,

au le clair du ciel.



24

Voix de bois,

piano sonnera,

sonnera espacement...

sonnera le merveilleux bois,

bois du voix :

un sentiment nouveau reviendra,

pas du grand à poète ingravide,

absolute, trébuchera,

dans l épais du vin,

mais j'ai fumé, aussi du submonde,

eclaira !

la vie reviendrà.

lentement,

voix de bois,

au piano ils chantera.



25

Nuit parfumée du matin,

tes sains brillants d'etoiles,

comme un bon vin,

bruits et sonants,

toit d etage sur,

le silence, in gravide,

lierent,

aux les bras brûlent dans mon coeur

raises de touts d'elles mots,

tout pour toi,

obscure nuit parfumée du matin,

toujours parfois.



fin

 

 

 

PAYSAGES DE RONDE

(1995)

 

 



Quelle voix inhabitées moi trouvé la pause?



La grande lampe illumine les arbres d´ombres du rivage,
sec pas de danse de l'air avec leur bien oublié
la multitude de pierres sur le visage du soleil.



Ce que je habitais silence, j'entendu le son profond?

 

Oh monde subtil de la terre,
Page gris, montagnes  bleuâtre,
la végétation hostile,
Page rustique de l'histoire
des premiers jets, étrange froid,
eaux filles, grotte sombre, la grotte
ruisselant de blessure douce.

 

Une étape dans une étape profonde
entre les parois des montagnes,
est pas une occlusion, mais le passage ouvert
l'Éclosion intime de l'esprit créatif,
Il est, sévère, pas terrible compliqué,
autour de la ville haute,
la respiration intime, serein,
une vie multipliée, rien convexe,
ni exploré assez.

 

Région de montagne habitée par des étoiles,
la veste sombre ouverte à l'infini,
Approximative beaux yeux bateau froid,
Je sens l'écho de sa ailée pas. Silence.
Suivant l'air frais aux feuilles sèches,
écho fortement ressenti par moi feu
accompagnant mon ignoré.

 

Froid innocent viennent l'espace immortel
qui a touché mon visage enfance,
avec les mains ludiques de sa jeunesse,
et les robes sombres de viandes scintillantes.



Luminosité des étoiles,
âme bruits.
Désir d'amour en principe,
chansons de fleurettes inconscients,
arrivée dans le royaume éternel des morts,
pas de mots, pas d'étoiles dans l'obscurité.
 


Green Water, permanent
la terre ferme, hachuré,
le soleil avec le profil
les mains ciselées.
Voix de feu,
le ciel clair
ouvert sur la villa
en hauteur, fleur
Tous les temps aspirés.
 


Cercle autour du blanc
maisons au-dessus des nuages
le vent de larmes.
De silence.
Le grillon jack-cac
marque le rythme
la musique intime
Fer et ligne.
Sons lances,
Scythe,
le blé et les légumineuses,
Glitters leurs sabres,
dans l'eau transférée,
mur dur sur les banques
changements d'obscurité.
 


Peasant Dance,
autour du secret,
villa
en hauteur, plat ...

 

 

Dans l'après-midi, après la chaleur,
à l'heure de méditation,
ombres d'arbres bas
et les grandes ombres dans le ciel.
Des idées fraîches sont accompagnés
brises des champs.
Dans le verre, le vin andalou clair,
la table avec ses mains calmes
que les livres de demi-ouverte.
Il est le temps de l'accomplissement,
et l'obscurité commence.
Un cœur brisé, la densité 
inexpliquée

à hauteur de la hauteur terribles
la paire de la villa, mais je suis en bas.
En bas, dans les profondeurs, dans le sud de l'Espagne,
complètement ci-dessous.
 


Verre à vin défini dans la clarté
Loin légèrement soleil d'or,
la face arrière du soleil.
Le paysage a été rapidement fermé,
monde Key a commencé,
et ce vide immense,
un vert fort, crépite sur le figuier
gémissements de démission.
En bas, dans les profondeurs, a démissionné de son sort
un verre de bon vin,
vin sud pressé soutenu
jour, avec des plaintes mineures
le vieil arbre, dans la dernière heure,
fruits chargés humaine, le fruit
l'homme dans un pays égoïste
et un air limpide, trop étrange,
forêt sur le bord des choses
son esprit de fond et accueille
le résumé du monde convexe.
 

L'homme à l'homme livre
un après-midi chargé, pur, dans la dernière heure.
En bas, dans les profondeurs.


Bain d'eau fraîche
Eau né doucement sur les rochers,
l'insecte à travers l'eau,
marque les rythmes jambes fortes,
et avances ...
le cheval dégustation laborieusement
le son dur de la pierre, les progrès,
Lentement, la fleur coupé court
sur la route, la pluie
et accompagnant tout l'après-midi.
 


Toutes les choses ont un moment historique,
seules choses simples
allumer le moment historique de l'environnement,
les extrémités des axes, de la poussière,
le paysage de montagne à cette époque,
Partager ces moments et de l'imagination
Il donne la touche magique.
Bartered le monde de la terre
dans le monde que possible.
 

Tout a changé.
L'étape est leur destin commun,
l'histoire est un jeu léger,
que le fort est un mur invisible
Jouer la limite humaine.
Vous ne pouvez pas faire de l'histoire.
Il est un support au fond de la villa royale,
dessous, la montagne, l'abîme à ses pieds,
le toucher, instantanément, une entaille
à ses pieds, terrain
grâce à la cathédrale de col de montagne,
haute tour détient d'immenses colonnes
petites maisons blanches, aèrent vos pieds,
danser doucement parmi les figuiers,
et au-dessous, une rivière et mon cheval.

Petite plante pelées
route sloppily, battage
Une douce pluie claire
et terminer la journée magnifiquement
cet après-midi indéfinie,
avec des couleurs fort topaze,
sur l'air blanc frais,
au pied du village inconnu,
ombres cachées présent et respirant haleine,
l'insecte noir dernier bain,
et le bruit de l'eau, de la musique
et le verre au sol, gargouillis,
Fantastique pluie pour mon cheval,
jeune, sage ... lassitude

 

Cal blasonné, air glacé,
abîme instantanée
dans les spores de l'âme.
murmure profond qui s'abaisse
Les oiseaux qui volent haut, le vent
pierre vole sans la distance,
lointainement vers le bas sous les cris
aller siècles passés
et les temps de retour.

Un espace disque a augmenté
le petit village sur les épaules Andalouses.
La terre géante atteint les bonnes personnes
et fournit un certain ciel clair pour eux,
un peu élevé pour le peuple,
un peu de poésie pour une langue ancienne.
Et son chemin bruyant, soulève des vagues
la magie qui se posent dans le cadre du Tajo
nuages ​​inimitables.


Pas le temps, la vie commence à nouveau
avec les préoccupations de tous les jours.
Le soleil éparpille son étreinte ami proche
en chaux et fleurs de beauté blanche.
Le paysage méchant est commun,
mais son fond est étrange.

Nuit fermé. Paysage de terre rouge,
muddies la nuit.
Les lames oléiculteurs arbres à feuilles.
Etape intime préoccupation page
sur le ciel sombre, retiré,
l'immensité rapetissé sombre à mes pieds.
 


Fantômes de la matière,
Les fantômes de la terre et des arbres,
incomodándome air avec son visage,
d'autres respiration d'autre part.
 


De cette hauteur, vers le bas de Ronda,
le ciel pleure avec la voix redoutable,
l'énorme vague qui a frappé une fois
de desintimación dans le monde.
Sable seulement la guerre,
ciel Mauler avec des nuages,
avec des pierres plu envie de pleurer
tombe instantanément dans les cours d'eau à la recherche, rapide, d'autres chutes.
Aceros l'air contre des maisons,
Mauler aussi leurs petites montagnes.
Qui demeure en haut
ainsi Tueuse?.

 

 

Pain immense de soir à la gare des trains.
Mort froide Walks
avec la lenteur d'un univers qui croit
chez l'homme. Le grand croyant Univers.
La rive du canal a dabs de grenouilles,
une odeur piquante et de roseaux sucrés,
près des rochers noirs lézard vert.
Le monde se lève et règle toutes les choses
dans ce vaste territoire au pied de Ronda;
jeu autour du jeu,
révolte, rond, grand, long, fin, yeux bleus,
J'importuns,
trompette sonne très proche:
silence,

silence militaire, étendu ...


La chanson maléfique volant de mouches,
ondes limpides résonnant dans l'air,
, Fatal, maelström sacrilèges de la vie;
cachant abondamment avec son odeur de la montagne lasse,
dans la première heure de l'après-midi étouffante,
formant le son rauque de ses paroles,
dans la guerre des Dévoreurs muscles.
La mort imparable grande fête
mots ruidea dit entre les dents serrées.


Je reviendrai, Anita,
Je te vois à travers vos beaux yeux,
le fruit de notre bouche est vide,
de ces pommes acides tu me quittais, étendu ...
Ce sera la rivière et son petit verger bas,
ma belle cortijera, dos à sourire,
traversera les montagnes de la végétation épaisse,
où les eaux claires et fraîches se posent,
comme un cadeau aux pauvres,
le mot des pauvres, toujours proche et unie,
si plein de beaux yeux durables.
 


Nous grimpons le Tajo à une fosse.
Le temps n'a pas passé à Ronda,
La vie a été arrêté dans son air,
Il perpétue son abîme.
 


Lorsque la campagne andalouse pause est donnée,
et personne n'y a personne au pied de Ronda,
il y aura le lourd silence que nous nous joignons à l'époque.
Nous allons ombre l'essence de pin,
et la plainte des cyprès.

 

fin

 

 

 

 

José María Torres Morenilla
 

 

LOS POEMAS DE LA ALHAMBRA

 

 

RÍO DARRO AL ENCUENTRO DE GRANADA

 

 

 

©Torres Morenilla, José María - Madrid 2005

 

Entrada a:

Poesia de Torres Morenilla Paisajes y Retratos Dibujos de Granada


 

 

 

 

 

morenilla45@gmail.com



©JOSÉ MARÍA TORRES MORENILLA, MADRID 2005