Autour de toi
1
Nouveau le sous vert,
avant le petite brise, parfumée,
au garden rameau,
defense d'une lumière ;
ils sont vivant jouissant,
jeunes gens, aux fleurs.
2
Bruits de mer, à tonne, sourire.
proche, de bouche, jusant,
bois de mer,
longtemps désirée,
3
Seine extensive,
visage amoureux, cintre de ville.
amoncelée collines,
long promenade,
fleuve interminable
4
Blanche, elle, chemin,
écouter lui sont dur,
bientôt, de mon mot ;
le vent deposé
aussi la mer
et sa vêtement blanche.
5
Brise qui il pleuve,
le gens cheminée autours d eau,
fond le sable du pluie,
du sourire c´est neige.
6
Un poète tombé,
sans lange,
dans la rivière de mer,
sans mots,
la mer est sa langue.
7
Ne moi donnez pas votres anciennes choses,
je sais un roman nouveau, same ensemble,
d'un verbe occulte et sagace,
qui dans mon âme, changé les roses.
8
La mer qui je rencontrai
dans circuler ciel ;
la mer qui me reporte,
nouveau sa fraîcheur,
sa terre obscurcie
sa bouche acide.
9
Oh verbe replet qui je rencontrais!,
dernièr raison de vivre, raison, d´illusion.
10
Au retour le paysage fébrile
d autre paysage : mon coeur,
au cercle à mon contestée a toi,
je exige vous il unit main replete :
- Autour moi, au retour,
L´amour sera la bas.
11
Lis de jaune, lis violet,
il grève décliner au mort de Sienne,
il l'esclavo oprime son secret,
loin, loin, le mur
blanc est fureur,
sud, la terre aujourd'hui sombre,
le lis du il grève, bleu tendre,
jusqúa lis, denses, jaunes.
12
Bois au vin, le paysage , il apparaît
au travers, de son verre, tombé,
de petits mots obscurcis,
à mouvements infinis,
a votre bouche approchais
et détache l'espace,
et les vivants devient
la dimension égale,
et les dents sont trouvent
avec toi même, l infime,
obscure, de bon vin,
sous je ta bouche,
ta bouche parfumée la nuit,
au petit pays.
13
Train de montaigne,
le soleil à tes mains,
le chuts, chuts accompagne,
au riviere bleu du lac,
au champagne
vert, obliquement,
les droites lignes du lumière,
sont du
femme fragance,
vent en de lis,
de frâcheur au printemps,
voyage du fer,
(fenêtre ouvert)
you printemps, mon âme.
14
Alliez, alliez ! ombre accroupie,
l'obscurité à l'air éclairée,
song de silence,
incroyable sable,
le passant du paysage cultivée,
du plus de faux et plus vrai:
L'automne s´abate le sous-sol
d'un air qui j'ai fumé.
15
Proximité du parfum jeune,
parlez moi,
des choses qui élevais au de l'infinie,
parlez moi au toi même,
jeune.
16
Au fin du jour, donc j'ai perdu
l agriculture, mes mains délicates,
ne s´occupent pas des les formes
inharmonieuses à le bon corps ;
la transparence d or,
du vin, et de cristal lumière,
j'ai perdu mon travail aux les vignes,
la recolte d'âge, dans printemps derniers,
la terre même, ou la terre de grève,
et l odeur du nuage fumée.
17
D´eau, densité, le vêtement du couleur,
le phase harmonieuse du peinture,
lumière qui monte o descendre,
le espace,
l'infinite avec la dimension et mortelle,
la tour traduit au ciel,
le ciel assister immutable...
18
Crin la noir, brillant,
tête de beauté,
sa trot, picotant.
À retour envisage,
il rencontre sa force,
le tambour du vallée,
le page obscur,
d animal domable.
19
Danser les lignes, danser
et puis nous dansons,
au rive, nous dansons,
nous dansons la rime
de poésie sensible,
nous dansons in gravides,
nous sommes les dansants,
un, deux, trois,
milliards donne mille,
et les jambes, sans poids,
sans poids, sans musique,
en circle,
au coeur, au coeur!
à toute le couleur,
à plain vide !
20
Rose, obscure, marbre et blanc,
bruit d eau au petit fontaine,
tes mains à mes mains,
hiéroglyphe du lumière,
au bruit brillant d eau,
l'air frais, parfumé.
21
Chaud dans chevaux,
dans centre, c´est toi,
je l'ai fumée un subtil ciel
si il va au ton fin,
tout, presque rien...
22
Vin, sang, fleurs,
vert obscure, rouge verre,
lévres d amoureuses,
branches de végétaux,
à la fâce de mon coeur
joyeux sa mon tête,
sang a mon sang,
déjà vert d´obscure,
mon lèvres amoureuses
sont de coeur des fleurs
23
De fleuve du l'air,
course au lumiére,
pierre obscure sens bleus,
profonds seins d aurore,
les autes files entre nuages,
et l eau, des paysages susurrant,
au le clair du ciel.
24
Voix de bois,
piano sonnera,
sonnera espacement...
sonnera le merveilleux bois,
bois du voix :
un sentiment nouveau reviendra,
pas du grand à poète ingravide,
absolute, trébuchera,
dans l épais du vin,
mais j'ai fumé, aussi du submonde,
eclaira !
la vie reviendrà.
lentement,
voix de bois,
au piano ils chantera.
25
Nuit parfumée du matin,
tes sains brillants d'etoiles,
comme un bon vin,
bruits et sonants,
toit d etage sur,
le silence, in gravide,
lierent,
aux les bras brûlent dans mon coeur
raises de touts d'elles mots,
tout pour toi,
obscure nuit parfumée du matin,
toujours parfois.
fin
José María Torres Morenilla
|